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~* Journal d'une Magical Girl *~
Lune d'aujourd'hui
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~* Journal d'une Magical Girl *~
  • Récit au quotidien d'une apprentie sorcière, lancée sur la voie de l'ésotérisme et du paganisme. Je partage avec vous mon vécu magique, mes aspirations dans ce domaine, mais aussi la part sombre de cette voie : les doutes, les peurs, les erreurs etc.
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Mon parcours

Une fois le bac en poche (Littéraire, mention assez bien), je me suis dirigée vers l'université et les études de psychologie.

Sachant que je voulais être psychothérapeute, j'ai entamé une psychothérapie (psychanalytique) auprès de Mylène SAUVET, une psychologue avec laquelle je suis restée un an et quelques, le temps de me rendre compte que je tournais en rond dans mes élucubrations et que les fonds accordés par mes parents pour suivre cette thérapie (40 minutes par séance, 40 euros par semaine (soit 1 euro la minute, autant dire que ton silence est d'or à ce moment là !), soit 160 euros chaque mois !) se voyaient menacés. En tentant d'adapter les conditions de l'accompagnement, je me suis heurtée à un mur et me suis vue dans l'obligation d'arrêter non-officiellement l'accompagnement (peut être qu'à l'heure actuelle, ma plage horaire est encore réservée, comme elle m'a dit cela quand je l'ai prévenu que je ne viendrais plus ?).

En cours de deuxième année, une première chose décala ma route toute tracée pour devenir psychologue puis psychothérapeute : la grève étudiante, qui a tenu jusque en fin d'année scolaire. Que faire, lorsque, étudiant, tu ne peux plus étudier et qu'on commence à parler réforme, politique, etc. ? Personnellement, je me suis mise à réfléchir et à remettre le système en question, à me positionner comme un maillon du canevas politique à part entière, avec le constat cruel sur le bout de cette grève : le système mais aussi les moyens actuels de lutter "contre" ne fonctionnent pas. Et en attendant, c'est toi qui paye les pots cassés en examen pour avoir osé rêver à un monde différent.

Ce décalage entraîna un redoublement (moi qui ai souvent été première de la classe et très sérieuse à propos de mes études !! L'égo en a pris un sacré coup ! Je ne pouvais plus m'identifier à l'élève parfaite, rendez-vous compte !). Parallèlement à mes études, je me lançais à corps perdu dans l'associatif étudiant et devint secrétaire puis présidente, puis vice-présidente, puis élue étudiante, etc. La machine était lancée, l'investissement associatif massif et mettant en danger mon travail universitaire.

J'ai pourtant décroché ma licence, malgré une très sale note en clinique (psychanalyse), avec mention. J'ai même laissé l'association des Betteraves Névrosées avec une présidente compétente, un local fonctionnel et une position bien meilleure qu'au départ !

Quelque part entre ces 4 années de licence, je suis tombée sur l'oracle des fées de Doreen Virtue. C'est d'abord la couleur violette (toutes les personnes qui me connaissent pourront vous expliquer le truc ^^) et l'intitulé des fées qui m'a attiré, puis sur le dos la présence du titre de "docteur en psychologie" qui m'a grandement rassurée (enfin, mon mental soyons clairs ^^...). J'ai donc commencé à apprivoiser cet oracle, partagée entre le doute, le scepticisme, le jeu et le désir de découvrir quelque chose de véritablement magique. Mes premiers tirages ont été suffisamment éloquents pour que je m'en remette à ces cartes lorsque j'étais au plus mal et que je me sentais perdue.

Par raison du coeur et du cerveau, j'ai déménagé à Bordeaux, où mon copain longue-distance vivait et où la faculté me semblait offrir de bien meilleure opportunités que si j'étais restée en Picardie et son bastion de psychanalyse.

C'est là que le dérapage a continué : avec ma relation qui ne me procurait pas suffisamment de communication vitale et ne me rendait pas heureuse, l'éloignement et l'isolement social, j'ai eu du mal à tenir ma première année de master et accomplir mes objectifs sérieusement... j'avais bien fini par trouver un stage, mais j'ai eu énormément de mal à m'intégrer et faire preuve de la responsabilité et du sérieux nécessaire pour pouvoir décrocher une bonne évaluation de ma maître de stage.J'avais donc effectué 200h de stage dans un centre d'examen de santé, suivi des éducations thérapeutiques notamment pour des diabétiques de type 2, conduit des entretiens exploratoires, tout cela pour RIEN.

En parallèle, et parce que je m'étais dirigée vers la psychologie de la santé plutôt que la clinique/patho, je montais une association d'étudiants en psychologie de la santé dans l'espoir d'améliorer ma candidature voire de me construire un passe-droit vers le master 2, saint graal des études en psychologie, sans quoi on est juste cantonné à un bac +4 inutile...

Malheureusement, la présidence de cette association ne s'est absolument pas bien passée. Même si j'ai réussi à monter une association digne de ce nom avec la maigre aide des garçons qui s'engageaient avec moi dans cette entreprise, mon caractère et ma manière de faire n'a pas plu ni aux professeurs impliqués, ni à mes "collègues". Je me suis donc fait virer de l'association qui sans moi n'aurait peut être jamais vu le jour. Je vous avouerais que la pilule a été très dure à avaler. J'ai sû la veille de l'assemblée générale que personne ne souhaitait que je continue la présidence, membre active si je voulais (et j'ai postulé !), chargée de projet mais autrement je ne disposais d'aucun soutien, même lorsque j'en parlais autour de moi, blessée comme pas possible, détruite, trahie.

Entre-temps, j'avais pendant l'été effectué un stage plutôt très instructif au CEID où malheureusement j'ai déçu ma maître de stage à la toute fin, en ne me levant pas le matin pour aller assister à une dernière réunion d'information "bonus".

Je vous laisse donc imaginer le niveau abyssal de mon estime de moi, de même que ma motivation à me retrouver un stage, élaborer mon mémoire, suivre les cours, travailler les examens...

Je remonte alors un peu le temps car un autre basculement d'ordre citoyen a eu lieu : les indignés. Fin de première année de master, je suis sensée étudier mes examens et les passer ! Mais ce merveilleux mouvement démocratique me redonne de l'espoir quant aux moyens d'actions militants pour plus de justice, d'équité et de liberté dans le monde. Avec le printemps arabe, la fin du monde qui arrive (nous sommes en 2011, 2012 c'est pour bientôt !!), je me lance à corps perdu dans la mobilisation, et fini, comme tous les membres de ce mouvement, par m'essoufler. L'été, entre mon stage au CEID et mon t-shirt "Indigné-e", je fais un stage de kundalini yoga après une séance de relaxation/médidation très porteuse (je crois avoir été très proche de la méditation profonde puis de la pleine conscience ^^), trouvée à la base sur groupon ^^... Stage qui me porte énormément : une première approche de la spiritualité qui me semble très saine, de la divination révélatrice...

Je cherche donc des cours de yoga près de chez moi et m'inscrit à du... kundalini yoga, aux coqs rouges à Bordeaux ^^... en parallèle je m'engage à corps perdu (oui, oui, on commence à discerner un pattern là, non ?) dans l'association de jeux EDIL, à 5min de chez moi. Je deviens permanente, membre du CA, puis finalement secrétaire... Autant vous dire que faire des permanences entières dans un local associatif mal chauffé alors qu'on est censés suivre ses cours et travailler son mémoire, c'est pas la meilleure façon de s'y coller ^^... mais j'y ai été heureuse, pour un temps, parmis mes origines rôlistiques... je suis devenue orga d'un semi-réel, j'ai participé à ces semi-réels, fait des murder party, puis des GN... et bien sûr proposé mes services de maître de jeu, tout en découvrant de nombreux jeux de rôles en jouant divers personnages :).

Je vous aide : ma deuxième année fut bien moins productive que la première. J'étais probablement déprimée, encore assez isolée, fragile, en recherche de moi-même, en butte avec mes études qui devenaient de plus en plus pesantes, néfastes, destructrices...

J'ai donc commencé une 3ème année de M1 non prévu, bien sûr après des examens où j'ai globalement échoué (rendre copie blanche, ça n'aide pas). L'impression de bégayer, de stagner et d'être nul était bien sûr très présente !

Et puis la pression parentale a fait que j'ai dû me trouver du travail, durant l'été mais aussi pour l'année, désireuse de gagner un peu d'indépendance vis à vis de mes études toutes payées et mon train de vie quotidien (beaucoup de culpabilité entrent alors en compte ici, c'était une période assez délicate de ma vie !). Mon karma m'a fait tomber, alors que je rentrais d'une journée harassante d'intérim et que je me prenais des pâtisseries pour caler ma faim dévorante, sur une annonce de recherche de baby-sitter.

Ni une ni deux, j'ai sauté sur l'occasion : l'annonce avait été mise ce matin, par une dame habitant la rue... j'ai tenté ma chance et ma chance a finalement payé... sauf que je tombais sur une psychologue (non, je ne déconne pas, karma quand tu nous tiens) au train de vie pour le moins étrange : un enfant de 4.5 ans timide, le papa qui ne vient que les weekends, un petit appartement mal agencé, mal meublé, une galère à nettoyer... une autorité culpabilisante par ma patronne, une relation à l'enfant poussive (je ne souhaitais pas me lier trop à lui car je savais que je n'étais que de passage dans son existence et ne souhaitait pas souffrir !), une motivation très fluctuante, mais une ponctualité et une régularité irréprochable, de même que j'essayais de faire de mon mieux dans des conditions parfois complètement délirantes (un mois sans frigidaire et je dois lui faire la cuisine le soir et le midi !!). Bref, beaucoup d'anecdotes généralement navrantes, parfois un peu de rire et de moments relaxant, pas mal de je-m'en-foutisme de ma part, surtout sur le début... je m'ennuyais, ne m'investissais pas au-delà d'un certain point, convaincue que ça n'en valait pas la peine (et c'était le cas).

Je cherchais un stage, également, et en trouve un après moult palabres et négociations, en EHPAD (car je fuis la psychologie de la santé dans l'espoir d'essayer de trouver une voie non-massacrée en gérontologie). Malheureusement, la psychologue étant fermement psychanalyste, mal à l'aise et débutante, le stage se passe mal après quelques expressivités de ma part (je n'ai pas dit un mot, mais mon visage est un livre ouvert) notamment lorsque je me vois recommander un ouvrage de pathologie si vieux qu'il classe encore l'homosexualité comme une maladie mentale (je ne déconne pas), et qu'elle crache ouvertement sur la formation de WAIS (échelle de QI pour adulte) et qu'elle me recommande un ouvrage d'un ami à elle qui permet une interprétation projective de cet test d'intelligence (c'est comme si tu te servais d'une balance pour trouver le volume d'un liquide inconnu : l'outil n'est pas fait pour cela, et tu as beau extrapoler et construire ta propre évaluation volumique, ça ne peut pas être correct vu que l'outil est inadapté, de base). Vu l'impasse scientifique dans laquelle je suis, de même que l'impasse humaine et pédagogique, je finis par recevoir un appel au bout de quelques semaines m'annonçant qu'elle arrête le stage, qu'elle ne sait pas quoi ni comment m'apprendre et que bon hein il faudrait que je me remette en question hein !!

Gros retour du karma, grosse déprime, grosse recherche de sympathies et d'explications, même dans le bureau du responsable des stages qui lui-même transpire le mal-être et la perdition (et qui fait partie des professeurs qui m'ont viré de l'association ^^ !!). J'apprends que mon premier stage a révélé que je "manquais d'empathie", qu'il n'est donc pas validé et qu'il faut que j'en recherche un autre... avec un(e) professionnel(le) qui s'engagera à me suivre personnellement et particulièrement.

Le creusage de tombe continue et je commence à faire un rejet massif de la psychologie, des psychologues et et toutes ces hypocrisies destructrices...

En parallèle de cela, je me suis vraiment mise à m'intéresser à la magie, d'un point de vue culturel et ludique, en premier lieu, puis, mû par mes fréquentations et mes aspirations rêveuses, dans le paganisme et les lectures ésotériques véritables.Mon premier sabbat célébré en tant que tel a été celui de Beltane en 2013. Au jour d'aujourd'hui, cela fait officiellement 2 ans que je suis païenne et très heureuse de l'être ^^...

Lors de l'été 2013 j'eû l'occasion d'incarner une prêtresse de Dana dans un archéosite reconstitué lors d'un Grandeur Nature. Cela coïncidait avec l'arrêt de la pilule, et dès le deuxième jour je vécu mes premières règles en conscience, aidée par elles à vivre et incarner un féminin sacré inexorable, triomphant, sage et fragile à la fois. je me positionnais de plus en plus dans la dualité du Dieu et de la Déesse : Yang et Yin, en ne sachant pas encore comment l'intégrer. puis j'ai découvert la femme lunaire de Miranda Grey, et j'ai débuté mon carnet des rêves 3 mois durant, apprenant à écouter et vivre mon cycle en conscience.

A la rentrée 2013, je tentais le tout pour le tout : suivre une formation de psychodrame et me réinscrire symboliquement en psycho dans l'espoir de tenter encore de sauver mon M1 et de commencer à développer des compétences réelles de psychothérapies.

Malheureusement, le stage au CIRCE, que je prévoyais avant même d'arriver sur Bordeaux se révéla décevant et trop contraignant pour être réellement efficace en dehors de la formation initiale...Nous étions un groupe de seulement 3 femmes, baignées de contraintes, de psychanalyse et d'exploration personnelle de ce moyen de mise en scène... j'en profitais pour travailler sur mes peurs (requins, rejet, etc.), mais les limites du fonctionnement du psychodrame m'apparurent très vite, et je m'effondrai. Ma construction spirituelle me mettait en décalage total avec ces personnes ne vivant que par et pour le mental tout-puissant... et je comprenais qu'il ne s'agissait toujours pas de ma voie !

En parallèle de cela, suite à ma lecture du livre de Gilles WURTZ, Chamanisme celtique, une transmission de nos terres, je m'inscrivais et assistait au stage de base à Colmar le 2 novembre 2013 (oui, à Sahmain !). C'est lors de cette formation que j'ai notamment reçu la vision chamanique de "l'aile du corbeau est noire", être portée par un corbeau dans la nuit où brillait une pleine lune surprenante... alors que j'avais posé la question (en pleine remise en question de mes études, forcément) de savoir quel chemin professionnel serait le plus positif pour moi. En recevant ce message, je me réjouis de sa nature ésotérique indéniable, mais ne sû qu'en faire. Je ne pensais pas devenir chamane : cela exige trop, et j'ai déjà bien assez à faire avec mes propres guérisons ! Par contre, j'avais trouvé là le moyen le plus direct, le plus simple et le plus royal pour travailler sur moi, mon égo, mes blocages et mes guérisons (aussi bien physiques qu'émotionnelles et spirituelles). Et, comparé au psychodrame et aux thérapies en général, un moyen beaucoup plus autonome et efficace, sans parler de sa gratuité et sa facilité à mettre en place ^^...

Mes premiers voyages chamaniques ont été, cependant, très marqués par le doute et la peur de ne pas y arriver, l'égo, et surtout les attentes impossibles à taire concernant le travail chamanique à accomplir, les animaux de pouvoir à avoir, les espérances de réussites et de messages glorieux, mystiques, fantastiques...

Je sû cependant que je voyageais, par des sons, des impressions tactiles, et malgré ma frustration je voyageais, notamment une fois en perdant complètement la notion du temps.

Le weekend d'après, je participe pour la "modique" somme de 15 euros à un voyage chamanique en groupe, où je ne perçois strictement RIEN. Je suis bloquée. Pour moi, plusieurs indicateurs intuitifs sont dans le rouge, je ne suis pas en confiance et lâcher sa mailloche en pleine battement de tambour ça a tendance à te faire sortir du voyage chamanique, merci madame ! Après, je profite de l'occasion qui m'est donné que l'organisatrice aille me chercher mon animal de pouvoir (à ce moment là, je suis relativement désespérée et mes attentes concernant mon animal de pouvoir crèvent le plafond). Elle m'annonce la chauve-souris, et je me dis directement qu'elle vient de trouver ça sur mes vêtements (complètement noirs, avec un haut où une fée aux ailes déchirées est présente), qu'elle ne sait pas ce qu'elle fait et que cet animal m'apparait comme un alien et absolument pas comme un protecteur (le premier animal de pouvoir qui se présente à toi est sensé être ton animal totem, ton protecteur durant tes voyages et le représentant de ta force vitale).

Plus tard, dans mon appartement, après le stage et alors que j'étais sensée être en formation de psychodrame et que je culpabilisais dessus, bien consciente de déserter mais déterminée à me saisir de cet espace de conscience pour travailler sur moi, je fais plusieurs voyages chamaniques. Je voyage d'abord à la rencontre de l'esprit de l'appartement : je vois alors une tête de cerf (que je n'associe pas à moi mais à l'homme avec lequel je suis alors), puis une chauve-souris aux ailes déployées. J'avais fini par rencontrer mes animaux, alors que mes attentes étaient très basses dû à ma situation émotionnelle critique et au fait qu'il ne s'agissait "que" de l'esprit de mon appartement, pourtant -logiquement- fortement imprégné de mes énergies ^^ !

En mars, je fais un soin chamanique et lumière, où je découvre le lapin ^^... et on m'annonce aussi la présence du cerf, avec des bois très grand, très majestueux. Je travaille avec la malachite (que j'épuise littéralement, ne sachant pas encore à l'époque comment "soigner" les pierres), le printemps me redonne des forces.

Le 7 mai, j'assiste à une conférence sur les âmes soeurs, âmes jumelles et flammes jumelles aussi instructive que destructrice, car je suis alors persuadée d'avoir trouvé mon âme jumelle... puis j'enchaîne dans le mauvais karma avec un enseignement de même acabit concernant la labradorite, puis une hutte de sudation qui s'est très mal finie puisqu'on a pratiquement été jeté hors de la douche avec mon chéri, et qu'on est parti atterrés et déçus par une telle attitude. Je pense que je trainais des difficultés liées à l'égo ainsi qu'un certain mauvais karma... il faut cependant préciser que sois je tombais sous le coup d'une malédiction/karma étranger, soit (et j'en suis à peu près sûre, je vois mal comment "des mains noires aux ongles tendus sur moi, menaçantes" décrit par un ami clairvoyant auraient pu être autre chose) j'avais essuyé ma première attaque psychique (d'une sorcière ayant approché le café païen avec laquelle je m'étais permise d'être franche et de défendre mon espace vital positif sur facebook), partiellement encaissée par le pendentif de labradorite que je portais sur moi depuis un an.

Puis le vent a changé, la lune des amoureux est arrivée (un vendredi 13 ^^) et avec elle ma guérison vis à vis de mon vaginisme (qui bloquait ma sexualité depuis plusieurs années), j'ai fait une roue médecine chamanique navajo où je me suis découvert d'autres animaux de pouvoir (dont le papillon, l'écureuil, la loutre/marmotte/castor, la biche...) et où le cerf était très présent, sur les lieux avant nous, et où j'ai distinctement senti mes ailes au contact du monde d'en haut.

Je découvre la sexualité sacrée, mes dons énergétiques s'affirment, je reçois des messages des anges (numéros).

En septembre, je m'apprête à entamer une formation de lithothérapeute à Lithosophia, lorsque à 2 semaines du début des cours tout est annulé. Je prends évidemment cet évènement comme un signe (que j'interprêterai actuellement comme une voie que je n'avais pas à explorer, surtout pendant 3 ans et de manière aussi contraignante). Pourtant, j'approche de mon année de vie 7 et je sais qu'il va me falloir une formation ésotérique et énergétique basique ! Je suis de nouveau perdue, j'arrête progressivement toute activité professionnelle et me focalise sur mon couple et je finis par emménager chez lui en novembre.

Je suis cependant un stage de naturopathie et de massage chi-qong (sur la route pour m'y rendre, je croise une biche en pleine route !), je fais de la gymnatisque sensorielle féminine... ainsi la biche, le papillons viennent à moi progressivement... je fais appel à une numérologue pour un thème complet que je trouve un peu trop générique et peu "nourrissant". Puis, en 2015, sachant que c'est l'année où jamais pour apprendre et étudier dans l'ésotérisme (mais aussi et surtout parce que j'ai conscience de stagner et d'avoir besoin d'une existence spirituelle continue), je m'inscris au cours de magie naturelle.

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